Le Contexte

Si on a initié au cours des années 80 une première tentative de ré-enchantement de l’entreprise, en passant de « l’administration du personnel » à la « gestion des ressources humaines »…
Si on a voulu à cette occasion amorcer un changement de perspective dans l’appréhension renouvelée de la place et du rôle du « facteur humain » dans l’entreprise…
On n’en est pas moins resté dans une perspective gestionnaire, ‘’rabattant’’ par là-même ledit facteur humain au rang des ressources à gérer, au même titre que la finance, les informations ou les matières premières…

Les hommes ne sont pas des ressources dans l’entreprise  mais un capital, un actif en lequel il s’agit investir pour favoriser son développement, son renouvellement, et cela pour le meilleur profit de l’entreprise et de ses clients.

Ainsi, si l’expression révèle bien l’intention, les ressources en ‘’hommes’’ de l’entreprise se devraient donc d’être gérées au mieux (consommées, dépensées ou au contraire économisées – voire épuisées et remplacées) au gré des événements, des cycles ou des circonstances de l’entreprise !

Nos Convictions

Nous réfutons cette conception réductrice de la contribution humaine au développement de l’entreprise, et consécutivement de la place à faire au facteur humain dans les organisations.

Les hommes ne sont pas des ressources dans l’entreprise, à inscrire dans le cycle d’exploitation et en bas de bilan. Ils sont un capital, un actif – à inscrire en haut de bilan – dans lequel il s’agit investir pour en favoriser le développement, le renouvellement, et cela pour le meilleur profit de l’entreprise et de ses clients.

Le concept de capital humain n’est pas en soi une innovation, puisqu’il date des années 60 (ce sont les économistes qui l’ont initié avec Théodore Schultz en 1961 puis Gary Becker à partir des années 65, celui-ci obtenant même le prix Nobel d’économie en 1992 pour sa théorie du capital humain en tant que compétences, expériences et savoirs).

En revanche ce qui resterait, des années après, une véritable innovation, ce serait de considérer réellement l’HOMME comme un capital à valoriser au sein de l’entreprise, un potentiel qu’il s’agirait de développer et d’optimiser, afin qu’il puisse devenir un facteur déterminant de croissance pour l’entreprise, une compétence clef , un facteur différenciant au service des clients.

On le voit ici il s’agirait pas moins alors de considérer les dépenses réalisées au profit du capital humain comme des investissements. Il s’agirait de sortir du ‘’court-termisme’’ qui semble constituer la mesure du management moderne.

Notre Projet

HOMMES Capital & Développement, les trois termes de l’équation gagnante se trouvent ici posés, dégageant au final la perspective du développement conjoint de l’entreprise et des collaborateurs.

Qu’est-ce qui pouvait, mieux que cet arbre aux branchages largement déployés, représenter cette perspective des fruits à en attendre ? Nombreux. N’oublions-nous pas trop souvent, que la promesse de ces fruits ne saurait être tenue qu’à la condition d’un enracinement large et profond, comme une sorte de symétrique sous terraine de la ramure elle-même de l’arbre …

Il est bien là l’enjeu : saurons-nous offrir à tous ces arbres précieux qui nous ont été confiés, la terre fertile et généreuse qu’ils attendent, gage des fruits et semences de demain, pour nous et les générations à venir ?

C’est en tout cas ce à quoi nous avons décidé de nous consacrer, à vos côtés, lucidement, humblement, mais avec passion. Parce que nous aussi nous croyons que l’entreprise n’appartient pas uniquement à ses actionnaires (seul le capital financier leur appartient), mais à l’ensemble des parties prenantes qui la font vivre, – parce que, nous aussi nous avons été manager, et savons à quel point le management est déterminant pour garantir le Développement, celui des entreprises et celui de leur Capital en HOMMES !

Notre parcours

C’est au travers d’une expérience de manager, de DRH et de dirigeant pendant 23 ans, que s’est forgée en nous cette conviction profonde que l’homme au sein de l’entreprise est un capital stratégique et que c’est donc en investissant en lui que l’on saura créer les conditions du développement et de la croissance.

C’est la volonté d’y consacrer l’essentiel de notre temps qui nous a fait privilégier aujourd’hui des activités de formateur et consultant, d’enseignant en école de commerce ou de management,  et de coach (accompagnement individuel et team building), tout en nous attachant à conserver des missions opérationnelles sur le terrain, notamment au travers de responsabilités régulières d’administrateur provisoire ou de manager de transition.